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Julien ou Julie (08)

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Julien ou Julie (08)*** MERCI POUR VOS COMMENTAIRES – PEUT-ETRE QUE CERTAINS FOLLOWERS VONT TROUVER LEURS ATTENTES ICI – OU PAS ENCORE ?***Les voilà lancée, nettoyage des sextoys etc. C’est un régal pour la vue, les voir totalement nues, ne portant que leur talons, la cage pour Julie, le cul plein toute les deux, affairées à la cuisine.Je vais chercher mon ordinateur portable et me laisse tomber dans le canapé, nu également.Après quelque contrôle , tout roule comme prévu et je constate que mes intuitions semblaient bonnes. Ça reste à confirmer, mais on verra ça pour plus tard.Je repose l’ordi. Et je décide de pleinement profiter de ma position de mâle dominant, à savoir me délecter de mes petites femelles qui s’attèlent en cuisine. Je les reluquent tout en buvant ma bière et finis par m’assoupir.Je finis par émerger et me rends comptes que ce qui m’a sorti de mon sommeil, c’est le filles. Elles sont toutes les 2 à côté de moi. Ma queue entre une main de chacune subit une délicieuse masturbation à deux mains. Leurs bouches viennent ensuite toutes les deux se poser sur ma bite, en face à a face, et c’est synchronisées qu’elles entament ensemble une montée descente sur toute sa longueur.Elles se partagent ma lance telle une friandise. Elles alterne l’une et l’autre entre pipe et léchage de couilles. C’est une réelle nouveauté pour moi, mais quel délice.Julie finit par se levée, laissant ma queue à Sophie et vient se positionner à genoux à côté de moi.- Maître, Sophie et moi avons je pense fait ce que vous souhaitiez. Le diner est prêt, la cuisine en ordre, le ménage fait.- Bien !Je me redresse, ce qui oblige Sophie à lâcher ma queue- A genoux toi aussi et suivez moiJe fais un tour du salon, cuisine pour vérifier leur travail. Elles me suivent à quatre pattes. Je jette un œil au repas, ça sent bon. Je me dirige ensuite vers les WC. Le je lève le rabat.- Léchez- Pardon ? me dit Sophie- J’ai dit léchez, tu comprends pas quand je parle ? Vous m’avez dit avoir fait le ménage complet, donc si c’est exact les WC sont propres également, non ?- On y a pas pensé- dommage… LéchezJe me recule pour leur faire la place. Elle se regarde, interrogative, hésitante. Puis Julie se lance et commence à passer quelques coups de langues. Elle se retourne vers Sophie et de son regard lui fait comprendre qu’elle doit aussi s’y mettre. Sophie s’approche, pas encore décidée.Je l’att**** par les cheveux et lui colle le visage à la cuvette.- Lèches j’ai ditElle finit par obéir, bien que timidement. Elles sont finalement toutes les deux la langues collée à la lunette des toilettes.- bien, écartez-vous un peuJe m’avance, et entre leur deux visage me mets à pisser.- rapprochez-vous et tendez la langueJ’ai décidé de monter encore d’un cran et de les tester encore plus.Encore une fois, elle s’interroge l’une l’autre du regard. Et encore une fois Julie obéit la première, finalement imitée par Sophie. Elles positionnent donc toutes les deux leur langue sous mon jet d’urine. Au contact de leur langue, le jet leur éclabousse au visage. Elles grimacent mais restent. Je termine tranquillement et quand j’ai terminé- Nettoyez-moiToujours aussi gourmande, Julie se rue sur ma queue- Toutes les deux !Julie se retire à regret et laisse la place à sa sœur qui en grimaçant prend ma bite en bouche et termine de me la nettoyer- Nettoyez-vous maintenantSophie commence à vouloir s’essuyer le visage, je lui retient la main- l’une l’autre voyons !Résignées, elles s’approchent l’une de l’autre et se lèche le visage, allant récupérer la moindre goutte d’urine qu’elles n’ont pas le choix d’avaler.- Bien, faites un brin de toilette et rejoignez moi.Je retourne à la salle à manger et m’installe. Les filles arrivent.- Vous n’avez pas mis le couvert- Pardon Maître dit timidement Julie- Ça passe exceptionnellement pour cette foi. Corrigez çaElle vont à la cuisine et reviennent avec 3 couverts quelles commencent à disposer- Stop, qui vous a dit que vous pouviez partager ma table ? Vous semblez oublier votre rang !Elles se stoppent et se regardent ne sachant quoi faire.- Sauf si je vous informe du contraire, vous prenez vos repas soit après moi, soit potentiellement en même temps mais à terre. Pour cette foi vous mangerez plus tard. Servez-moiElles installent alors mon couvert, vont en cuisine chercher le repas. Elles servent mon assiette, une appétissante poêlée de légumes, avec un morceau de viande sur son jus.- Julie, ma poupée chérie, prend ta place à mes pieds, sous la table- Oui Maître- Je veux que ma queue soit en permanence dans ta bouche, mais interdiction de me faire jouir- Bien Maître- Quand à toi Sophie, tu vas monter sur le table, assise, face à moi. Je veux que tu te masturbe, mais pareil, interdiction de te faire jouir- OK…depuis la séance des toilettes Sophie semble un peu sonnée. Est-elle en train de réaliser que mes attentes peuvent dépassez tout ce qu’elle a pu imaginer ? Est-ce que je vais trop loin pour elle ? Ou au contraire apprécie-t’elle tout ce qu’elle découvre et a décidé de s’abandonner ? Nous verrons, toujours est-il qu’elle s’exécute et se positionne tel que je lui ais demandé. Un peu gênée elle commence à se caresser, timidement. Est-ce de se masturber face à moi qui l’embarrasse ?- Tu es gênée ?- Un peu, je… j’ai jamais fait ça, me caresser devant quelqu’un- Et alors ? tu sais pas comment faire ? Tu trouves plus gênant de faire ça que d’offrir ton cul sans réserves ?- Un peu oui…- regrettes-tu quoi que ce soit jusqu’à présent ?- Non…- Alors laisses toi aller, et obéis ! Caresse toi comme si tu étais seule dans ta chambre. ankara escort Mène toi jusqu’à l’orgasme, mais quand il arrive e veux que tu me le dise et que tu t’arrêtes, compris ?- oui me dit ‘elle en démarrant un lent massage de son clito- Et toi, tu attends quoi ? dis-je en regardant Julie sous la tableBien entendu, elle embouche aussitôt ma queue et démarre un lent travail de succion.C’est donc dans les meilleurs conditions que j’entame mon repas. Je prends bien le temps de savourer, lentement. Je constate que Sophie alterne les rythmes, et y prends son plaisir. Je constate que sa chatte commence à couler légèrement. J’att**** une assiette et la place dessous. Elle semble monter assez vite en pression, se tend un peu et dans un râle me dit- Je viens, je viiens- Stop, retire ta main !Elle obéit, et se crispe de frustration. je vois son ventre se contracter, résister contre l’orgasme qui montait tout en le désirant puisement. Quand elle semble calmée- RecommenceAvec un regard plein d’appétit, elle reprend sa branlette. De son côté Julie prend toujours soin de ma queue. Entretenant mon érection délicieusement.Je continu mon repas, tranquillement, interrompant Sophie deux fois de plus. La dernière semble avoir été une véritable torture. Elle poussait des râles presque de souffrance à lutter contre son orgasme.Quand j’ai terminé mon repas, je me lève de table- VenezJulie sors de sous la table, Sophie en descend, essoufflée et quais achevée de ses orgasmes ruinés. Je prends l’assiette que j’avais disposée avant, la tends à Sophie.- Sers-vous vos portions de légumesEncore une fois, c’est le regard interrogatif qu’elles me regardent. En effet, au fond de l’assiette une petite flaque de ses sécrétassions s’est formée. Elle sert toutefois l’assiette.Je prends un couvert et remue bien les légumes dans l’assiette de sorte à bien les imprégner.- La viande maintenantLeurs deux part de viande sont également servies. Elle s’apprêtent à servir de la sauce- Non, coupe juste la viande en petits morceauxUne fois la viande découpée, je saisis une main de chaque que je place sur ma queue.- Faite moi jouir, vous avez aussi droit à un peu de sauce pour votre viandeC’est à deux mains qu’elles me branlent donc. Julie m’ayant bien entretenu et ayant bien fait monter ma pression, je ne tarde pas à venir. c’est dans l’assiette, par-dessus la viande que j’oriente mes giclées. Avec ce que j’ai donné toute la journée, c’est un peu faible, dommage… Je mélange quand même bien le tout.Je prends l’assiette et la pose par terre- A genouxPendant qu’elles se mettent en place, je retourne chercher les menottes et reviens les leurs mettre, dans le dos.- Bon appétitEncore une fois, interrogatives, elles se regardent. Julie se penche et att**** tant bien que mal un peu de viande. Sophie fait pareil, mais avec plus de difficultés, ses cheveux étant plus long. La viande et son assaisonnent semble leur plaire. elles passent ensuite aux légumes toutes les deux, et de même semble apprécier. Je m’assieds et les regarde donc manger au sol. Elles ne tardent pas à venir à la fin de l’assiette, la léchant toutes les deux pour que rien ne reste.- C’est bien, vous êtes de braves filles, je leur dit tout en leur caressant la tête telle les deux chiennes qu’elles sont- faites-vous une petite toilette, vous êtes un peu salesL’expérience des toilettes leur permet de comprendre ce que j’attends d’elles et à coup de langues elles se nettoie le visage mutuellement.- Le repas vous a plu ?Julie toute souriante me réponds- Votre sperme est toujours un délice- Bien. Vous avez besoin d’un bon rafraichissement, vous allez passer toutes les deux à la salle de bain vous laver.Elles se lèvent, je les détache, les tournent pour leur retirer leur rosebud, d’un coup sec, leur faisant pousser un cri.- Julie, tu y vas la première. Tu fais une toilette complète. Tu trouveras le nécessaire pour ta petite chatte dans la salle de bain.Je me rassieds- Viens par-là, dis-je à SophieElle se place face à moi. Je passe ma main le long de ses cuisses, la montant jusqu’à sa chatte qui n’est toujours pas sèche. Je lui introduit deux doigts d’un coup dans la chatte.- Tu aurais voulus jouir avant ?- Oui me répond-elle en soupirant- Tu me préviens quand tu viensJe la doigtes généreusement, mes doigts allant et sortant de sa chatte au son des clapotis de son jus- Ça vient… ca viiientJe m’arrête d’un coup, retire mes doigts et la regarde lutter pour contre sa frustration. Quand elle semble ressaisie, je recommence- Encore, lui dis-jeJe repars comme avant, jusqu’à ce qu’elle me dise, bien plus vite que la fois précédente- Je vieeeensEt j’arrête à nouveau. Encore une fois, la frustration semble la faire souffrir, elle est presqu’en en pleur quand elle me dit- S’il vous plait laisser moi venir, je veux jouir- J’ai pas compris ? tu quoi ?- je veux jouir- Tu ne veux rien du tout. C’est pas comme ça que ça se passe je te rappel- S’il vous plait, est-ce que vous voulez bien me faire jouir ?- Mieux que ça encoreElle se met alors à genoux, tête baissée- S’il vous plait Maître, veuillez avoir la bonté d’accorder un orgasme à la petite chienne que je suis- Voilà, quand tu veux tu y arrives. DeboutUne foi levée, je la place devant moi, entre mes jambes. Je réintroduis mes doigts en elle. Arrivés au fond, elle pousse un profond soupir de soulagement. Tout en la branlant, du bout des dents je saisie son tétons droit, que je mort, étire. Je fais subir le même traitement au gauche. Puis je mords ses seins, l’un après l’autre à pleine dents.Mes doigts continus leur va et vient en elle. De ma main libre, j’att**** son clito que je pince, augmentant progressivement la pression- Oui, oui, je viens, je viens, pitié, encore !J’augmente alors le rythme de mes doigts, et simultanément mord puisement son téton droit et pince son clito. Elle part alors dans un puissant orgasme, criant fort son plaisir, d’une voix rauque.- Ouiiii, ouii, oh putain oui c’est boooonElle s’écroule alors à terre, se recroqueville en position fœtale, gémissante mais semi comateuse. Je lèche mes doigts pour savourer son gout. Je me met à genoux, la place sur le dos, lui écarte les cuisses et vais boire son jus à la source. Elle coule, doucement dans ma bouche. Son délicieux nectar.Ouvrant à peine les yeux, elle me regarde et dans un murmure- Merci…- Tu viens d’apprendre que ton plaisir peut être encore plus puissant quand ce n’est pas toi qui le contrôle. Tu as aussi découvert que la douleur peut te faire jouir, n’est-ce pas ?Toujours d’une voie faible, presque un murmure- Oui. Plus vous me pinciez plus la douleur me stimulait- C’est bien. Tu apprends vite. J’apprécie ta docilité.Elle se recroqueville à nouveau en position fœtale, un sourire d’apaisement sur le visage. Je vais pour ma part me poser dans le canapé. Je la laisse au sol s’assoupir. Au bout d’un moment, Julie fini par sortir de la salle de bain. Son corps entièrement nu mis à part sa cage rose bonbon pétille. Son allure, sa démarche féminine, son sourire, ses yeux pétillants exprime une forme de bonheur complet. Elle vient se placer face à moi, s’agenoue- Maître, j’ai terminé ma toiletteElle voit alors sa sœur à terre- Je vous ai entendu… je pense que tout l’immeuble vous a entendu d’ailleurs… Elle va bien ?- Oui, ne t’inquiète pas. Elle se remet gentiment. Va la réveiller en douceur.Restant à quatre pattes, Julie se dirige vers sa sœur, m’exhibant de manière exagéré et très provocatrice son cul de rêve. Je la vois se pencher au-dessus du visage de sœur et coller ses lèvres aux siennes. Doucement Sophie émerge et rend son baiser à Julie avec gourmandise. Quand leurs lèvres se séparent, toutes deux arborent un sourire plein de tendresse l’une envers l’autre.- Sophie, à toi d’aller te rafraichir. Je pense que ça te fera du bien.Sophie se redresse, encore un peu faible, se lève et part à la salle de bain. Julie quant à elle revient vers moi, toujours à quatre pattes. Elle se positionne face à moi, tête légèrement baissée, me regard de par le bas avec un petit sourire.- Es-tu heureuse ?- Oui Maître- Bien. Je dois en savoir plus à ton sujet à présent. Que fais-tu de ta vie actuellement ?- Pas grand-chose pour le moment. Je voulais intégrer une école mais mes demandes ont été refusées. J’ai donc essayé de trouver du boulot mais je n’ai pas de diplômes… Et je ne sais même pas vraiment quoi chercher… Je me suis inscrit, heu inscrite hihi en intérim mais sans succès pour le moment.- Quelle école tu voulais faire ?- Une école d’art… Même si je ne suis pas mauvaise dans toutes les matières, ça ne m’intéresse pas… L’art m’intéresse mais je n’avais à priori pas le cursus qui les intéressait.- Donc à ce jour tu es totalement libre. Et tes parents te laissent ainsi ? Ils tolèrent ça ?- Pour le moment oui. Ils ont compris que c’est pas de ma faute, et me laisse le temps de trouver un boulot pour l’année et retenter ma chance ailleurs l’an prochain.- Ok. je vais voir si je peux arranger quelques choses pour toi la semaine prochaine. Julie doit pouvoir s’épanouir un peu plus, aussi bien socialement que professionnellement.- ho mercii, vous êtes merveilleux. Mais heu, vous croyez que Julie, enfin moi, je peux heu je sais pas, devenir moi complètement ?- Ne te réjouis pas encore. Mais oui, malgré tout dans ce monde d’intolérance il y a des personnes ouvertes, et j’en connais quelques-unes, qui pourraient me rendre des services de plus. Nous verrons ça, je ferais quelque chose toi. En attendant, ton temps libre me sera entièrement consacré.- Avec plaisir, me répond-elle en se léchant les lèvre et en regardant ma queue au repos- Petite salope gourmande va. Je te rappel qu’en plus d’être mon jouet sexuel, tu es aussi dorénavant ma boniche attitrée. J’attends donc de toi que tu tienne mon appartement en ordre.- très bien- Pardon ?- Oui Maître- Bon. Maintenant vérifions ton hygiène. C’est un point sur lequel je serais intransigeant ! Tu dois être, propre, fraiche, lisse en permanence. Lève-toi.Je me lève également. je lève ses bras et vérifie sous ses aisselles. elles ont été rasées ce matin. Je lui suggère néanmoins l’usage de déodorant. sa sœur doit sûrement pouvoir la dépanner. J’inspecte son visage. sa pilosité étant tellement rare que c’est bon. Je me baisse, laisse glisser mes mains sur ses jambes et en vérifie là aussi la pilosité, elle aussi fraiche du matin donc ok. J’att**** sa cage du bout des doigts, la soulève, passe un doigt à la base de ses mini couilles. Je fais aussi un petit plaisir en les lui attrapant et les écrase un peu. Comme elle commence à l’apprendre, elle endure la douleur en silence. Je la fait ensuite se tourner pour avoir le visage face à son cul.- Penche toiCe qu’elle fait bien sûr de suite. Je lui fais écarter les jambes. Je m’approche de son cul, lui écarte les fesses et je sens. Elle sent le propre, un peu parfumé. j’avais vu un savon intime dans les affaires qu’elle et sa sœur avait préparé, ce doit être ce qu’elle a utilisé. Je passe un coup de langue sur sa rondelle, ce qui la fait frémir. Puis je glisse mon majeur en elle, aussi profond que possible. Je la fouille bien et ressors moi doigt. Il est nikel, propre.- Bien, en dehors du déo, tu es aussi fraiche que je le souhaitais.Elle tourne alors la tête vers moi et me sourire de satisfaction.- Allons voir les vêtements que vous avez préparés et te choisir une tenue pour ce soir. Nous sortons tous les troisNous allons dans ma chambre et déballons le sac, ou du moins ce qu’elles n’avaient pas encore déballé pour leur toilette. J’étale sur le lit les différents vêtements, lingerie etc.Dans la montagne d’affaires qu’elles ont pris, je penses trouver ce que je veux.Je commence par choisir un magnifique bustier, a couleur majoritaire noire, piqué de fines dentelles rouges vives; Bustier sans bretelles, à porte jarretelles.- Commence par enfiler ça.Tandis que Julie se faufile, un peu en galérant, dans son bustier, je vais à la recherche du string assortis que j’avais repéré, ainsi que d’une paire de bas noirs à résilles.- Tu apprendras à mieux te débrouiller avec le temps, lui dis-je en la voyant un peu en galère. Je vais pour l’aider, j’ajuste le bustier sur son Corp. Il est muni de lacets dans le dos, permettant d’en ajuster le serrage. Je prépare le laçage et quand je suis prêt je lui dit- Expire complètementEt tout en suivant sous expiration, le sers le bustier au mieux, affinant et dessinant d’avantage sa silhouette.- C’est serré Maître- Je sais.Je lui place ensuite les deux petites ”prothèses” que sa sœur lui avait prêté, afin de fournir un peu ses balcons. Heureusement, Sophie n’a pas une grosse poitrine non plus donc ça ne jure pas. Je lui tends ensuite les bas- Mets lesCe qu’elle fait en se voulant le plus sensuel possible. Elle se débrouille plutôt bien pour les accrocher aux jarretelles. je lui tends ensuite le string, qu’elle enfile. Je lui tend ensuite une robe noire, qu’elle enfile. La robe, lui arrive tout juste à la lisière des bas. Sur les côtés, sur toute la hauteur, une bande est composée uniquement de dentelles, laissant voir ce qu’elle poste au-dessous sans équivoques. La robe n’a pas de bretelles non plus mais lui couvre le haut du torse, masquant sa poitrine inexistante sous une forme de provocation. Elle est plutôt raide, droite. Ça a pour effet de laisser voir ses bas à chaque mouvements. Dans la collection de chaussures qu’elles ont ramenés, je sélectionne un pair d’escarpins noirs, très raffinés, à talons aiguilles très fins vertigineux. pas loin de 15cm je dirais, et les lui tends.Elle s’assied sur le lit pour les mettre, puis se relève. A peine une ou deux seconde pour trouver son équilibre et la voilà à aller et venir dans la chambre. je la regarde avec gourmandise, sexy comme elle est. Elle vient vers moi, passe sensuellement ses bras autour de mon cou et m’offre ses lèvres que je m’empresse de manger. Je la sent se coller contre moi, une jambe relevée.C’est à ce moment que Sophie arrive dans la pièce, fraichement sortie de la douche, entièrement nue. Elle s’appui au chambranle de la porte et nous regarde. Quand je libère les lèvres de Julie, je l’écarte de moi pour l’exhiber à sa sœur. C’est les yeux admiratifs qu’elle dit- Mon dieu Julie, tu es sublime… Je n’en reviens pas, sincèrement… tu as beau être mon frère, je suis incapable de voir ce garçon qui a partagé mon enfance en regardant la femme somptueuse que j’ai devant les yeux…Emue, Julie lui réponds- Merci…- Occupons nous toi Sophie, vient par icitout comme pour Julie, je commence par une inspection hygiénique. sa pilosité est parfaite, à savoir inexistante.- Sur le lit à quatre pattesAinsi offerte je peux allègrement inspecter sa chatte et son anus. Tous deux, après inspection à coup de langue et de doigts profond son impeccables, frais, propres, parfumés. Sa chatte semble ne jamais sécher, elle est encore humide de cyprine au gout délicieux.En cherchant la tenue de Julie, j’avais repéré celle que je choisis pour Sophie. Je lui tends donc la robe choisie, qu’elle enfile sans même s’interroger sur le fait que je ne lui propose pas de lingerie. cette robe, noire également, sans bretelles aussi, avec un décolleté plongeant au creux de ses petits seins, qui sont eux soutenus par de petits balconnets intégrés à la robe. Dans son dos, la robe plonge en dos nus, jusqu’au raz de la naissance de ses fesses. La robe, près du corps pour la partie haute, s’évase un peu plus au bas, venant de terminer à quelques centimètres seulement en dessous de ses fesses. Sa tenue laisse clairement constater qu’elle ne porte rien dessous à quiconque l’observe un peu attentivement.Je lui sélectionne ensuite ses chaussures. Il s’agit de sandales dorées, a tôlons tout aussi hauts que ceux de Julie, maintenues par une bride de chevilles. Elles les enfiles et, habituées qu’elle est, n’a aucun mal à tenir debout. Elle aussi, bien se coller à moi me tendre ses lèvres en offrandes, que je dévore.- Bien, passez au maquillage et finissez de vous préparer. Je m’habille aussi.Sophie, intriguée me demande.- Pouvons-nous savoir où nous allons ?- NonElles vont finir de se préparer. Pour ma part, pantalon en toile beige, chemise blanche. Je décide de ne rien porter dessous. tenue simple mais suffisamment classe pour les accompagner.Elles arrivent après un temps interminable, toute pomponnées. Maquillage plus soutenu, beaucoup plus glamour, coloré. Boucles d’oreilles, colliers, bagues, bracelets, elles portent toutes les deux une panoplie de bijoux en parfait accord avec leurs tenues.- Parfait, un dernier détail, et leur montre leur rosebud.Elle s’agenouille aussitôt, me tendant leur cul, que je remplis de leur jouet. Elles se relèvent. Je les fais sortir de l’appartement. Il est près de 23h, lorsque nous montons dans ma voiture. Moi au volant, Julie à mes côtés, Sophie à l’arrière.**A SUIVRE***

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